dimanche 16 avril 2006

Frustration

Voila le texte ecrit sur mon pc, hereusement, depuis j'ai decouverte une cafe internet 23h/24 et meme pas loin, c'est quand j'etais un peu desespere deja...

L’Internet me manquait sérieusement, c’est presque la plus grande chagrin ici et maintenant. Mais Bucarest est une ville des contrastes (elle a était toujours, mais maintenant plus que toujours). Riche et pauvre, belle et moche, vieille et nouvelle, ouverture et fermeture.

Certains, habitent dans des villas somptueuses et très modernisés en même temps, sans pour autant changer à l’ancienne patine, d’autres dans des blocs horribles de communisme, encore d’autres dans des petits endroits tout à fait délabrés. Des nouvelles maisons sont construites, des anciennes refaites et d’autres tombent de plus en plus en presque ruines.

Avec joie, j’avais découverte tout près de « moi » un Café Internet ouvert jour et nuit, plein de bruit et fumée, mais me permettant envoyer photos et textes et pas cher du tout. La joie, comme hélas trop souvent, était de courte durée : l’endroit est fermé. « On va ouvrir ailleurs » à un moment donné. Je n’ai pas trouvé encore une autre, mais j’ai aussi manqué de temps de chercher.

Les peintres arrivent à huit heure de matin et travaillent jusque quatre voir six heure d’après-midi, puis l’installateur arrive vers sept heures et quelquefois travaille (mal, lui) jusque neuf ou dix. Après avoir déshabillé le mur d’un pièce jusque briques presque (trouvé trois ou quatre diverses couches anciennes très différentes), ils se sont mis à l’égaliser, lundi commencera seulement la peinture « vraie » comme je le connaissais.

L’installateur a réparé bien la fuite sous l’évier de la salle de bains, m’a mis des douilles manquants emporté par l’ancien locataire, une nouvelle serrure sur la porte - bien. Puis, a essayé faire que les toilettes ne fuit plus, qu’à l’intérieur l’eau s’écoule, sans succès. Quand tout marche « normalement » on ne sait pas quelle chance on en a. Mais j’ai de l’eau chaud et un douche, même si l’eau n’arrive pas au 3e qu’avec parcimonie.

J’ai essayé aussi utiliser l’Internet chez un parent éloigné, sympa mais vieux (oui, plus que moi !) et maniaque. Son ordinateur n’aime pas mes images trop larges probablement, et c’était coincé quand j’ai voulu voir l’entré de mon blog. « Tu abîme mon ordinateur, tout que j’ai va disparaître ! » en plus, ils habitent très loin du centre et d’où je suis.

Mon amie, chez qui je suis ce week-end, n’a pas d’Internet qu’à son travail où c’est interdit d’entrer pour ceux n’y travaillant pas. C’est elle qui a eu l’idée magnifique « écris tranquillement à la maison, puis tu ne dois que l’envoyer ». Et voilà.

J’espère que je trouverai un lieu d’où l’envoyer et j’espère que vous n’avez pas disparu et lirez ces lignes. Je sais la frustration de venir et rien trouver et je sais que je doit trouver une remède et reprendre mes entrées journaliers rapidement. Dés mercredi, je n’aurais plus ni peintres ni installateur dans le logement et pour le moment, je m’arrête avec le reste et je me mets à trouver un lieu Internet ou une possibilité journalier à me lier (en plus, payer tous les factures etc.)

C’est ultra agréable d’être gâté, comme je le suis en ce moment par mon amie Alina, en train de préparer un bon déjeuner après qu’elle est sortie exprès le matin pour m’acheter de pain et des œufs frais ! (dimanche avant notre promenade)

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