mardi 26 septembre 2006

Bas et hauts en quelques heures


De là pendant des heures, heureusement je suis arrivée là.



Voilà comment.

Hier, c'était une journée combinée des horreurs et plaisirs.

D'abord, une rapide voyage avec mon fils vers l'aéroport Charles de Gaulle, une agréable discussion avec lui me parlant un peu de son travail et moi du mien sur le web.

"Fais corriger d'abord ce que tu écris" il a raison.

Le retour, des détours.

Je fonçais au début vers Marne la Vallée, sans savoir ce que j'y cherche et comment s'en aller de là, me retrouver de nouveau à l'autoroute A1.

Au lieu de vingt minutes presque trois heures passés en bouchons ou détours sans explications.

Je vous laisse imaginer.



C'était quand même supportable: j'avais mon appareil photo avec moi et j'en ai profitté à faire quelques unes qui décrivent plus ou moins ce que j'avais ressenti.

Pendant que nous attendions, ou avancions pas à pas, les motos passaient avec une vitesse effarant et à faire peur entre les voitures.

J'avais même peur de mettre mon bras dehors, tellement ils venaient près de nous, se faufillant ou fonçant entre nous.



Sur cette image il parait que l'autoroute est fluide, mais nous arrivions de haut droit, ou tout était en attent et avec d'énormes camions entre ou à côté de nous. Plusieurs accidents autour de Paris et j'en ai eu le droit à tous. Je suis arrivée malgré tout cela à temps à mon rendez-vous.

Ensuite une magnifique promenade avec Coyote, maintenant en France et même, la même ville que moi, à la hauteurs de la ville. Une plateau d'où on peut voir tout autour très très loin par beau temps! Le matin le ciel était plein des nuages sombres et mencants, mais plus tard le beau temps c'est installé autour du Paris.

Prés de restaurant Le moulin d'Orgemont, un bout de bois, la vue, les chiens promenant leur propriétaires, des enfants hurlant près de leur maitre d'école, sinon, nous étions toutes seules avec le magnifique paysage.


Cette image raconte tout, ou presque, n'est-ce pas, de notre photo ballade.

Nous avons même réussi à grimper au Coteau, une autre colline voisine. A partir du haut, c'est déjà Sannois et nous avons vu le vendange du vigne de la ville se préparant pour la fête de dimanche.




Un autre moulin et des gens sympa nous permettant d'y entrer et prendre quelques images. Regarder surtout. On regarde et emporte avec soi toujours davantage que le camera peut prendre. Heureusement. Et le camera permet un contact et quelques mots aussi avec les gens. Hurrah!

5 commentaires:

  1. beau reportage encore, Julie.

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  2. "on regarde et on emporte avec soi" t'as tout compris Julie ,-)

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  3. Ton appareil te suit partout te permettant de saisir tous les moments intéressants dont tu nous fais profiter ensuite. Merci Julie.

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  4. Toujours aussi délicieuses tes photos.
    Pour moi être une mère juive n'a rien de péjoratif, je souhaiterai même que toutes les mères soient des mères juives, j'ai commis des erreurs comme toutes les mères mais je n'ai pas raté son enfance...

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  5. Je sais qu'on te l'a déjà signalé, mais si tu pouvais faire quelque chose, j'aurais plus facile à te lire. Je penses que ça vient de ton logiciel, ou de quelque chose comme ça. Tous les "E" que tu frappe, quand ils ont un accent, aigu, grave ou circonflexe, se transforment chez moi, et chez d'autres semble-t-il, en "Ä" suivis de mini caractères dives et variés...
    Je déchiffre quand même, mais si tu peux y remédier...
    Très bonne soirée.

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