samedi 23 novembre 2013

Manuels Toastmaster et discours

A Budapest, j'ai acheté quelques manuels Toastmasters en français, aussi. Maintenant, j'ai les manuels suivants:

Savoir communiquer, la première, avec ses dix projets.

1. Briser la glace. Raconter un récit personnel
2. Structurer votre discours. Début fin fort.
3. Aller a l'essentiel. Soutenir votre point de vue.
4. Les mot pour le dire. Simple. Claire. Utilisant les règles de rhétorique comme répétition, la règle de trois, métaphores.
5. Langage corporel.
6. La variété vocale.
7. La recherche documentaire.
8. Les supports visuels.
9. Être persuasif.
10. Inspirer votre audience.

Après avoir dit ces dix discours, et avoir reçu des commentaires, vous devenez "communicateur compétant". En fait, vous commencer a vous habituer parler en public, ayant appris les bases de comment la faire.

Ensuite, vous choisissez deux a deux, d'autres manuels, comprenant chacun cinq projets.

J'ai acheté les suivants en français :

L'art de raconter.
Savoir divertir.
S'exprimer avec humour.
Discours pour occasion spéciales.

Ces quartes, avec en tout 20 projets des discours. Dans ma façon de penser, tous des récits. Récits personnelles ou liées d'une certaines façon a moi, intéressant l'audience et passant un message, le plus souvent non exprimée, des fois soulignée.

Le premier projet en français était du livre Raconter des histoires. Le projet nr. 2 : un récit personnelle. La première de ce livre est raconter une histoire populaire, myth ou folklorique. Je dois encore décider laquelle je dirais. En anglais, j'avais racontée : la vieille femme et le Mort, récit folklorique hongroise, que j'avais traduit et adaptée. Et que mes petits enfants ont adorée.

Sans aller vite, je vais les redire en français un a un, créant si possible des nouvelles récits: tel joie déjà dans leurs création, puis les dire devant une audience!

En parallèle, je voudrais commencer, recommencer, écrire un ou deux livres, des récits de ma vie, mais aussi ce que j'ai appris sur comment raconter mieux. Hélas, le handicaps des langues, que cela soit français ou anglais, restent pour moi, plus fortes quand je dois écrire que quand je raconte.

En parlant, les mouvements, le visage, les mains et le bras, ainsi que les variation de voix, même les pauses, aident a mieux me faire comprendre. En écrit, en plus, on exige un grammaire plus correct, une langage en générale moins parlée. Enfin, on peut toujours essayer. Si on n'a pas de courage de échouer, on ne créera jamais rien.

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